Merci à Laetitia pour toutes ces paroles.
Alexandrie, Alexandra
Ah Aaah
Ah Aaah
Voiles sur les filles
Barques sur le Nil
Je suis dans ta vie
Je suis dans tes bras
Alexandra Alexandrie
Alexandrie où l'amour danse avec la nuit
J'ai plus d'appétit
Qu'un Barracuda
Je boirai tout le Nil si tu n'me retiens pas
Je boirai tout le Nil si tu n'me retiens pas
Alexandrie
Alexandra
Alexandrie où l'amoue danse au fond des draps
Ce soir j'ai de la fièvre et toi tu meurs de froid
Les sirèn's du port d'Alexandrie
Chantent encore la même mélodie wowo
La lumière du phare d'Alexandrie
Fait naufrager les papillons de ma jeunesse.
Ah Aaah
Ah Aaah
Voiles sur les filles
Et barques sur le Nil
Je suis dans ta vie
Je suis dans tes draps
Alexandra Alexandrie
Alexandrie où tout commence et tout finit
J'ai plus d'appétit
Qu'un Barracuda
Je te mangerai crue si tu n'me retiens pas
Je te mangerai crue si tu n'me retiens pas
Alexandrie
Alexandra
Alexandrie ce soir je danse dans tes draps
Je te mangerai crue si tu n'me retiiens pas
Les sirèn's du port d'Alexandrie
Chantent encore la même mélodie wowo
La lumière du phare d'Alexandrie
Fait naufrager les papillons de ma jeunesse.
Ah Aaah
Ah Aaah
Voiles sur les filles
Et barques sur le Nil
Alexandrie Alexandra
Ce soir j'ai la fièvre et tu meurs de froid
Ce soir je dans', je dans', je danse dans tes draps.
Belles, belles, belles
Un jour mon père me dit fiston
J' te vois sortir le soir
A ton âge il y a des choses
Qu'un garçon doit savoir
Les filles tu sais méfies-toi
C'est pas c' que tu crois
Elles sont toutes
Belles belles belles comme le jour
Belles belles belles comme l'amour
Elles te rendront fou de joie
Fou de tout l'or mais crois moi
Mais plus fou d'elles de jour en jour
Puis des filles de plus en plus
Tu vas en rencontrer
Peut-être même qu'un soir
Tu oublieras de rentrer
Plus t'en verras, plus t'en auras
Et plus tu comprendras
Dans ces moments, tu te souviendras
Que ton vieux père disait
Elles sont toutes
Belles belles belles comme le jour
Belles belles belles comme l'amour
Elles te rendront fou de joie
Fou de tout l'or mais crois moi
Plus fou d'elles d'elles d'elles de jour en jour
Un jour enfin tu la verras
Tu n' peux pas te tromper
Tu voudras lui dire je t'aime
Mais tu n' pourras plus parler
En un clin d'oeil vous s' rez unis
Pour le pire et le meilleur
Mais tu tiendras là, le vrai bonheur
Aux yeux de ton coeur
Elle sera
Belle belle belle comme le jour
Belle belle belle comme l'amour
Comme j'ai dit à ta maman
Tu lui diras en l'embrassant
Tu es, belle belle belle comme le jour
Belle belle belle comme l'amour
Belle belle belle comme le jour
C'est la même chanson
Ces mots là, ça parait trop simple
Mais ils sont vrais et puis c'est mon histoire
Oui ces mots là et un peu de musique
Et c'est la chanson que tout le monde
Peut chanter un soir
Et ce soir cette mélodie
Me rappelle un amour qui vivait autrefois
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu n'es plus là
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu ne l'entends pas
Je suis vraiment fou d'écouter cette chanson
Et de pleurer tout seul comme un idiot
Mais elle me poursuit inlassablement
Me rappelant le temps où tout me semblait beau
Nous avons dansé des nuits entières
On s'aimait pour toujours
Mais ça c'était hier
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu n'es plus là
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu ne l'entends pas
Toutes ces choses, j'ai voulu te les dire
Pour que tu saches combien tu m'as rendu heureux
Bien sur j'ai souffert, j'ai même cru en mourir
Mais ça valait la peine, c'était merveilleux
On dansait sur cette musique
On a fait l'amour sur cette musique
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu n'es plus là
Oui, c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu ne l'entends pas
Non, non, tu ne l'entends plus
Mais c'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu n'es plus là
C'est la même chanson
Mais la différence c'est que toi tu ne l'entends pas
Oui, c'est la même chanson...........
Cette année-là
Cette année-là
Je chantais pour la premiere fois
Le public ne me connaissait pas
Quelle année cette annee-là
Cette année-là
Le rock'n'roll venait d'ouvrir ses ailes
Et dans mon coin je chantais belle, belle, belle
Et le public aimait ça
Déjà les Beatles étaient quatre garçons dans le vent
Et moi ma chanson disait marche tout droit
Cette année-là
Quelle joie d'être l'idole des jeunes
Pour des fans qui cassaient les fauteuils
Plus j'y pense et moins j'oublie
J'ai découvert mon premier mon dernier amour
Le seul le grand l'unique et pour toujours le public
Cette année-là
Dans le ciel passait une musique
Un oiseau qu'on appelait Spoutnik
Quelle année cette année-là
C'est là qu'on a dit adieu à Marilyn au coeur d'or
Tandis que West Side battait tous les records
Cette année-là
Les guitares tiraient sur les violons
On croyait qu'une révolution arrivait
Cette année-là
C'était hier, mais aujourd'hui rien n'a changé
C'est le même métier qui ce soir recommence encore
C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux
Comme d'habitude
Je me lève et je te bouscule
Tu ne te réveilles pas comme d'habitude
Sur toi je remonte le drap
J'ai peur que tu aies froid comme d'habitude
Ma main caresse tes cheveux
Presque malgré moi comme d'habitude
Mais toi tu me tournes le dos
Comme d'habitude
Alors je m'habille très vite
Je sors de la chambre comme d'habitude
Tout seul je bois mon café
Je suis en retard comme d'habitude
Sans bruit je quitte la maison
Tout est gris dehors comme d'habitude
J'ai froid, je relève mon col
Comme d'habitude
Comme d'habitude, toute la journée
Je vais jouer à faire semblant
Comme d'habitude je vais sourire
Comme d'habitude je vais même rire
Comme d'habitude, enfin je vais vivre
Comme d'habitude
Et puis le jour s'en ira
Moi je reviendrai comme d'habitude
Toi, tu seras sortie
Pas encore rentrée comme d'habitude
Tout seul j'irai me coucher
Dans ce grand lit froid comme d'habitude
Mes larmes, je les cacherai
Comme d'habitude
Comme d'habitude, même la nuit
Je vais jouer à faire semblant
Comme d'habitude tu rentreras
Comme d'habitude je t'attendrai
Comme d'habitude tu me souriras
Comme d'habitude
Comme d'habitude tu te déshabilleras
Comme d'habitude tu te coucheras
Comme d'habitude on s'embrassera
Comme d'habitude
Comme d'habitude on fera semblant
Comme d'habitude on fera l'amour
Comme d'habitude on fera semblant
J'y pense et puis j'oublie
Tout le monde me demande si je t'aime encore
Et si je pense encore à toi
Ils me demandent de parler de mon coeur
C'est triste depuis de long mois.
Je mens un petit peu, et je dis fièrement,
Cette histoire est finie
Mais je dois avouer que certains soirs peut-être
Parfois j'ypense et puis j'oublie
{Refrain:}
J'y pense et puis j'oublie,
J'y pense surtout quand je suis seul la nuit,
Et quand ton souvenir
Revient me faire souffrir
Très vite j'y pense et puis j'oublie.
Tout le monde me demande si j'ai pleuré,
Et si je pleure encore pour toi,
Mais s'ils me le demandent
C'est tout simplement pour pouvoir rire de moi
Si je mens un petit peu et que je dis fièrement
Je n'ai jamais pleuré de ma vie
C'est tout juste si mes yeux me picotent un peu
Lorsque j'y pense et puis j'oublie
{Refrain:}
J'y pense et puis j'oublie,
J'y pense surtout quand je suis seul la nuit,
Et quand ton souvenir ,
Revient me faire souffrir,
Très vite j'y pense et puis j'oublie
J'y pense et puis j'oublie
Mais j'y pense beaucoup plus que je n'oublie,
Car tout au fond de moi,
Je sens que cet amour,
J'y pense j'y penserais toujours
J'y pense j'y penserais toujours
Je vais à Rio
Oh oh oh oh....
Quand tu souris
Je m'envole au paradis
Je vais à Rio de Janeiro
Je prends ta main
Et nos coeurs font plus de bruit
Que toutes les cymbales
Du carnaval
Tu m'entraines dans la foule
D'une fête qui déroule ses ailes
Ses dentelles
Et je suis riche de rêves
Comme le sont les gens pauvres
De là-bas
Quand tu souris
Je m'envole au paradis
Je vais à Rio de Janeiro
Et l'on s' jette dans l'eau
Dans l'eau bleue de l'océan
Que peuvent s'offrir sans argent
Ceux qui n'ont que des fleurs
Dans le coeur
Quand tu souris
Je crie depuis Paris
Je vais à Rio de Janeiro
Je prends ta main
Et nos coeurs font plus de bruit
Que toutes les cymbales
Du carnaval
On s'envole et on s'invente
Dix millions de gens qui chantent
Dans nos têtes, oh quelle fête
On se lance dans la danse
Qui balance entre la vie et l'amour
Oh oh oh oh....
On s'envole et l'on s'invente
Dix millions de gens qui chantent
Dans nos têtes, oh quelle fête
On se lance dans la danse
Qui balance entre la vie et l'amour
Quand tu souris
Je m'envole au paradis
Je vais à Rio de Janeiro
Je prends ta main
Et nos coeurs font plus de bruit
Que toutes les timbales
Du carnaval
Oui, quand tu souris
Je m'envole au paradis
Je vais à Rio
Rio de Janeiro
Je prends ta main
Et nos coeurs font plus de bruit
Que toutes les timbales
Du carnaval
Oh oh oh oh....
Le lundi au soleil
Regarde ta montre
Il est déjà huit heures
Embrassons nous tendrement
Un taxi t'emporte
Tu t'en vas, mon coeur
Parmi ces milliers de gens
C'est une journée idéale
Pour marcher dans la forêt
On trouverait plus normal
D'aller se coucher
Seuls dans les genêts
Le lundi au soleil
C'est une chose qu'on n'aura jamais
Chaque fois c'est pareil
C'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les routes
Le lundi au soleil
Le lundi au soleil
On pourrait le passer à s'aimer
Le lundi au soleil
On serait mieux dans l'odeur des foins
On aimerait mieux cueillir le raisin
Ou simplement ne rien faire
Le lundi au soleil
Toi, tu es à_ l'autre bout
De cette ville
Là-bas, comme chaque jour
Les dernières heures
Sont les plus difficiles
J'ai besoin de ton amour
Et puis dans la foule au loin
Je te vois, tu me souris
Les néons des magasins
Sont tous allumés
C'est déjà la nuit
Le lundi au soleil
C'est une chose qu'on n'aura jamais
Chaque fois c'est pareil
C'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les routes
Le lundi au soleil
Le lundi au soleil
On pourrait le passer à s'aimer
Le lundi au soleil
On serait mieux dans l'odeur des foins
On aimerait mieux cueillir le raisin
Ou simplement ne rien faire
Le lundi au soleil
Le mal aimé
J'ai besoin qu'on m'aime
Mais personne ne comprend
Ce que j'espère et que j'attends
Qui pourrait me dire qui je suis ?
Et j'ai bien bien peur
Toute ma vie d'être incompris
Car aujourd'hui : je me sens mal aimé
Je suis le mal aimé
Les gens me connaissent
Tel que je veux me montrer
Mais ont-ils chercher à savoir
D'où me viennent mes joies ?
Et pourquoi ce désespoir
Caché au fond de moi
Si les apparences
Sont quelquefois contre moi
Je ne suis pas ce que l'on croit
Contre l'aventure de chaque jour
J'échangerais demain la joie d'un seul amour
Mais je suis là comme avant mal aimé
Je suis le mal aimé
Les gens me connaissent
Tel que je veux me montrer
Mais ont-ils chercher à savoir
D'où me viennent mes joies ?
Et pourquoi ce désespoir
Caché au fond de moi
Car je suis mal aimé
Je suis le mal aimé
Les gens me connaissent
Tel que je veux me montrer
Mais ont-ils chercher à savoir
D'où me viennent mes joies ?
Et pourquoi ce désespoir
Caché au fond de moi
Je suis le mal aimé
Les gens me connaissent
Tel que je veux me montrer
Mais ont-ils chercher à savoir
D'où me viennent mes joies ?
Et pourquoi ce désespoir
Caché au fond de moi
Le téléphone pleure
Allo!
Ecoute maman est près de toi,
Il faut lui dire: "Maman, c'est quelqu'un pour toi"
Ah! c'est le monsieur de la dernière fois
Bon, je vais la chercher
Je crois qu'elle est dans son bain
Et je sais pas si elle va pouvoir venir
Dis-lui, je t'en prie, dis-lui c'est important
Et il attend
Dis, tu lui as fais quelque chose à ma maman
Elle me fait toujours des grands signes
Elle me dire toujours tout bas: "Fais croire que je suis pas là"
Raconte-moi comment est ta maison?
Apprends-tu bien chaque soir toutes tes leçons?
Oh oui! mais comme maman travaille
C'est la voisine qui m'emmène à l'école
Il y a qu'une signature sur mon carnet
Les autres ont celle de leur papa, pas moi
Oooooh dis-lui que j'ai mal
Si mal depuis six ans
Et c'est ton âge, mon enfant
Ah non! moi, j'ai cinq ans
Eh! dis, tu la connaissait ma maman avant
Pourtant elle m'a jamais parlé de toi
Tu restes là hein!
Le téléphone pleure quand elle ne vient pas
Quand je lui crie: "Je t'aime"
Les mots se meurent dans l'écouteur
Le téléphone pleure, ne raccroche pas
Je suis si près de toi avec la voix
Seras-tu aux prochaines vacances à l'hôtel Beau-Rivage?
Aimes-tu la plage?
Oh oui! j'adore me baigner
Maintenant je sais nager
Mais dis donc, comment tu connais l'hôtel Beau-Rivage
Tu y a été toi, à Sainte Maxime ?
Ooooooh! dis-lui toute ma peine,
Combien toutes les deux, moi, je vous aime
Je vous aime! mais je t'ai jamais vu, moi
Et qu'est-ce que t'as
Pourquoi t'as changé de voix
Mais tu pleures, pourquoi?
Le téléphone pleure quand elle ne vient pas
Quand je lui crie: "Je t'aime"
Les mots se meurent dans l'écouteur
Le téléphone pleure, ne raccroche pas
Je suis si près de toi avec la voix
Dis, écoute-moi
Le téléphone pleure pour la dernière fois
Car je serais demain au fond d'un train
Dis, mais retiens-la
Mais elle s'en va!
Allons insiste!
Elle est partie
Si elle est partie, alors tant pis
Au revoir, monsieur
Au revoir, petite
Magnolias for ever
Your girl is crying in the night
Is she wrong or is she right ?
Je ne peux plus rien y faire
Your girl is crying in the night
Burning, burning, burning bright
Je ne sais plus comment faire
Dites lui que je suis comme elle
Que j’aime toujours les chansons
Qui parlent d’amour et d’hirondelles
De chagrin, de vent et de frissons
Dites lui que je pense à elle
Quand on me parle de magnolias
Quand j’entends ces musiques nouvelles
Qui résonnent comme des bruits de combat
Your girl is crying in the night
Is she wrong or is she right ?
Je ne sais plus comment faire
Elle est si forte qu’elle se brise
Elle était fière, elle est soumise
Comme un Amour qui lâche prise
Qui casse et ne plie pas
Tu lui ressembles
Quand elle tremble
Et dans ta voix, j’entends parfois un peu sa voix
Et elle te ressemble
Quand elle tremble
Quand elle pleure
Là, dans le coeur, des arbres en fleurs
Dites lui j’ai peur pour elle
Dans les sous-sols quand il fait noir
Quand j’entends ces musiques nouvelles
Où s’envient crier le désespoir
Dites que je pense à elle
Dans un grand champ de Magnolias
Et que si toutes les fleurs sont belles
Je me brûle souvent, souvent les doigts
Des Magnolias, par centaines
Des Magnolias, comme autrefois
Je ne sais plus comment faire
Les Magnolias sont toujours là
Elle ressemble à toutes les filles
Quand elles aiment comme ça
Qu’elles soient méchantes ou timides
Pauvres violettes ou Magnolias
Elle aime les grands ciels humides
Et les déserts où il fait froid
Parfois elle pleure quand j’arrive
Et elle rit quand elle s’en va
Si tu t’en vas
Dans la tempête
Si tu t’en vas
Tu la verras
Dites lui que je suis comme elle
Que j’aime toujours les chansons
Qui parlent d’amour et d’hirondelles
De chagrin, de vent et de frissons
Si tu t’en vas
Dans la tempête
Si tu t’en vas
Tu la verras
Une chanson populaire
La pendule de l'entrée
S'est arrêtée sur midi
A ce moment très précis
Où tu m'as dit: " Je vais partir "
Et puis tu es partie
J'ai cherché le repos
J'ai vécu comme un robot
Mais aucune autre n'est venue
Remonter ma vie
Là où tu vas
Tu entendras j'en suis sûr
Dans d'autres voix qui rassurent
Mes mots d'amour
Tu te prendras
Au jeu des passions qu'on jure
Mais tu verras d'aventure
Le grand amour
Ça s'en va et ça revient
C'est fait de tout petits riens
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
L'amour c'est comme un refrain
Ça vous glisse entre les mains
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
Ça vous fait un coeur tout neuf
Ça vous accroche des ailes blanches dans le dos
Ça vous fait marcher sur des nuages
Et ça vous poursuit en un mot
Ça s'en va et ça revient
C'est fait de tout petits riens
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
Toi et moi amoureux
Autant ne plus y penses
On s'était plus à y croire
Mais c'est déjà une vieille histoire
Ta vie n'est plus ma vie
Je promène ma souffrance
De notre chambre au salon
Je vais, je viens, je tourne en rond
Dans mon silence
Je crois entendre
Ta voix comme un murmure
Qui me disait je t'assure
Le grand amour
Sans t'y attendre viendra
Pour toi j'en suis sûr
Il guérira tes blessures
Le grand amour
Ça s'en va et ça revient
C'est fait de tout petits riens
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
L'amour c'est comme un refrain
Ça vous glisse entre les mains
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
Ça vous fait un coeur tout neuf
Ça vous accroche des ailes blanches dans le dos
Ça vous fait marcher sur des nuages
Et ça vous poursuit en un mot
Y'a le printemps qui chante
Dis, ça fait combien de temps
Que tu n'as pas vu un peuplier
Une fleur des champs ?
Si tu as quelques chagrins
Pour les oublier il y a toujours une gare, un train
Change de ciel, viens voir la terre,
Voir le soleil et les rivières
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton coeur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.
Le premier vent du matin sera ton ami
Quand tu iras t'asseoir au jardin
Et puis le temps passera et tu me diras
Tout mon passé il est loin déjà
Tu ouvriras une fenêtre
Un beau matin, tu vas renaître
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton coeur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Les pommiers sont en fleurs
Ils berceront ton coeur
Toi qui es tout en pleurs
Ne reste pas dans la ville
Viens à la maison y'a le printemps qui chante
Viens à la maison tous les oiseaux t'attendent
Près des grands étangs bleus
Et dans les chemins creux
On ira tous les deux oublier ce rêve facile.